Liberté de manifester : Genève à l’épreuve du respect du droit international. Table ronde organisée par La Coordination genevoise pour le droit de manifester (CGDM) , l’association des juristes progressistes (AJP) et la Conférence universitaire des associations d’Etudiant.e.x.s (CUAE), avec le soutien de la CGTF et du journal Le Courrier.
La Coordination genevoise pour le droit de manifester (CGDM) réunit des activistes, associations, partis et syndicats qui se plaignent régulièrement de violations de leur liberté de réunion. Le gouvernement genevois pour sa part, considère qu’il n’y a pas de problème. Pourtant, c’est le droit international qui définit les contours du droit de manifester. Afin de mieux comprendre la définition de cette garantie démocratique, la CGDM organise une table ronde réunissant Clément Voule rapporteur spécial de l’ONU, Clémence Demay Docteure en droit, Olivier Peter, avocat et Alicia Giraudel experte en droits humains. La soirée sera modérée par Le Courrier et suivie d’un apéritif. Avec le soutien de la CGTF et du journal Le Courrier. Cet évènement donne droit à une attestation de formation continue en vue de l\'obtention du brevet d\'avocat-e. Les avocat-e-s stagiaires sont prié-e-s de se munir de leur attestation imprimée pour signature.
Clément Nyaletsossi Voule, rapporteur spécial sur les droits à la liberté de réunion pacifique Clémence Demay, docteure en droit ayant récemment soutenu sa thèse sur la désobéissance civile Olivier Peter, avocat Alicia Giraudel, experte en droits humains et chercheuse chez Amnesty International Modération par Philippe Bach, journaliste Le Courrier